Une petite balade agréable[pv : Ciel Phantomhive]

Elle me remercia, pourtant je n'avais rien dit de plus que la vérité. Puis elle n'a pas l'aire de quelqu'un de méchante ou d’hystérique (comme l'autre Alois). A moins qu'elle ne cache son jeu.

-De rien.

Elle me dit que cela faisais quelque mois. Sa ne fait donc pas très longtemps qu'ils se sont rencontré.

-Cela ne fait pas très longtemps.

Je n'osais pas poser plus de question, de peur d'être indiscret. Même si j'aimerais en savoir plus. Comme nous venons de nous rencontrer, je ne veut pas insister non plus.

Après que je lui ai dit que cela ne faisait que quelque mois, il me dit que cela ne faisait pas très longtemps, effectivement cela ne faisait pas très longtemps mais bon. Je me demandai si le Comte était amoureux..mais bon je n'allais pas lui poser la question, ceci est trop indiscret surtout que nous venions juste de nous rencontrer..je ne pouvais pas me le permettre.

Elle restais silencieuse par la suite. Ce n'est pas simple de lancer une conversation dans les codes avec une inconnue. Mais d'un sens avec tout les codes, cela empêche les gens d'entrer dans votre vie privée. Parce que je suis sur que sinon, il y en a plein qui ne se gênerais pas.

-Vos parents ne vous cherche pas tout les matins?

Parce que, du temps de mes parents, ils ne m'auraient jamais laisser flâner pendant des heures tous les matins prêt du lac.

J'avais de nouveau tourné mon regard vers le lac, puis le Comte me demanda si mes parents ne me cherchaient pas tous les matins. Je baissa la tête..les larmes aux yeux, je ne voulait pas lui montrer ma tristesse, je lui dit donc la tête baissé, la voix assez aiguë :

Mes parents sont mort il y a longtemps...

Elle avais tournée le regard vers le lac. Avant d'enfoncer sa tête dans ces genoux et de me dire que ces parents étaient morts.

-Toute mes condoléances.

Je ne voulais pas la faire pleurer, je n'aurais pas du pauser la question. Je la laissais ce calmer sans oser, ni savoir quoi lui dire pour la réconforter.

Je releva la tête, et essuya mes larmes, je ne devais pas me mettre à pleurer comme ça. Je me tourna vers le Comte et lui fit un sourire, même si j'avais encore les yeux plein de larmes. A chaque fois, que je parlais de mes parents c'était toujours la même chose, je pleurais...pleurais...et je n'arrivais pas à m'arrêter.

-Ne vous forcez pas à sourire. Vous savez il est normal de pleurer ces parents.

Elle avais relever la tête et m'avez sourit. Seulement cela se sentais qu'elle en souffrais encore, et surtout qu'elle avais encore envie de pleurer.
Je mis mes bras autours de mes genoux et posais ma tête dessus.

Le Comte me dit que je ne devez pas me force à sourire et que c'était normal de pleurer ses parents. Il passa ces bras autour de ses genoux et posa sa tête dessus. Je fit pareil que lui et sentit une larme couler sur ma joue, je devais me reprendre..je ne devais pas pleurer...

Elle m'imita alors que je la laissais pleurer et reprendre ces esprits. Lorsque qu'on est jeune, c'est toujours dure de perdre ces parents. Nous restions un moment silencieux, un silence gênant et peusent. Je peut comprendre sa douleur, et je sais aussi qu'il n'est pas simple de mettre des mots sur ce que l'on ressent. Sur cette douleur qu'on ne peut réellement exprimé.

Nous restâmes silencieux, pendant quelques minutes, en même temps je ne savais pas vraiment quoi dire...et puis je n'ai pas envie d'être indiscrète en lui posant des questions..qui ne me regarde pas. Je leva la tête et me mit à regarde le lac. De quoi pourrions nous parlez ? Ceci est une bonne question...en plus je n'étais pas très douée pour engagé la conversation.

Je la regardais ce redresser. Elle avait enfin séché ces larmes, elle regardais vers le lac. Je me demande si elle est toute seule chez elle. Ou si quelqu'un prend soin d'elle comme Sebastian le fait pour moi. D'ailleurs il doit me chercher...Il va me tuer si il me trouve....

-Si vous vous sentez seule n'hésitez pas à passer chez moi. Nous vous accueillerons comme il se doit.

Si elle est seule, la vie ne doit pas être simple. Et ces larmes sont d'autant plus justifiée. C'est rare quand je prend quelqu'un en affection comme ça....

Le Comte me dit que si je me sentais seul, que je ne devais pas hésiter à aller chez lui. Je lui dit en lui faisant un sourire :

Merci beaucoup Comte.

Il était vraiment gentil, je levai mes yeux vers le ciel, pas un seul nuage. Je tourna de nouveau mon regard vers le Comte et lui fit un grand sourire.

Elle se calma enfin un petit peu. Elle releva les yeux vers le ciel. J'avais toujours la tête sur les genoux mais tournée vers elle. Elle me fis un beau sourire avant de me remercier. Pourtant c'est juste de la pitié, elle ne devrais pas me remercier.

-De rien mademoiselle.

Je tournais le regard vers le lac. Je crois qu'elle ne pleure plus.

J'avais toujours les yeux lever le ciel, et regardait le peu de nuages qui se déplaçait doucement. Je tourna ma tête vers le Comte qui lui regardait le lac, je ne savais pas quoi dire à présent, ni quoi faire...je soupirai un peu et me mit à regarder le lac à mon tour.

On restais un moment silencieux, à regardé le ciel ou le lac. En faite, je ne sais pas quoi lui dire. Je l'entendis soupirer.

-Je suis désoler, je ne suis pas d'une compagnie très agréable aujourd'hui.

Normalement nous devrions faire la conversation comme l'exigerais les codes mais j'était venu m'isoler et réfléchir et non parler. Mais ce n'est pas non plus une raison pour être désagréable d'où les excuses.

Nous restâmes silencieux pendant quelques instants, puis le Comte me dit qu'il était désolé qu'il n'était pas d'une compagnie très agréable aujourd'hui. Je tourna mon regard vers lui et lui dit en faisant un petit sourire :

Je vous trouve de bonne compagnie.

-Vraiment? Alors vous n'aviez pas envie de parlez à qui que ce soit alors.

Parce que depuis tout à l'heure nos échanges sont souvent ponctuer par de nombreux silence. Mais bon si justement elle n'avait pas trop envie de parler, je dois effectivement être d'une excellente compagnie.

Le Comte me dit que ne voulais pas parler à qui que se soit. Ce n'est pas que je n'ai pas envie de parler..c'est juste que je ne sais pas quoi dire, je lui dit alors :

Ce n'est pas que je n'ai pas envie de parler, c'est juste que je ne sais pas quoi dire.

Puis je lui fit un sourire et tourna de nouveau mon regard vers le lac. C'est plutôt moi qui n'était pas de très bonne compagnie.

-Je ne sais pas trop quoi dire non plus.

Apparemment on était dans le même cas. On regarderait toujours le lac. Je m'étirais un peu comme un chat avant de reprendre ma position initiale. Je me demande si elle est aussi insociable que moi, ou si elle ne sait pas quoi dire qu'avec moi.

Le Comte me dit que lui aussi ne savait pas trop quoi dire, je me sentais moi seule, je le regardait s'étirer, puis je posa de nouveau mon regard vers le lac, je n'étais pas très douée pour parler aux gens..et encore moins pour engager la conversation. Je me demandais bien..de quoi je pourrais lui parler..parce que bon c'est pas que je m'ennuie à regarder le lac..mais un petit peu quand même.

Visiblement ni Eva ni moi ne somme doué pour engager une conversation. Je réfléchit à ce dont nous pourrions parler mais qui ne soit pas trop privé. Nous avions toujours le regard fixer sur l'horizon, l'ambiance deviens presque pesante. J’engageais de nouveau la conversation en lui disent:

-C'est bizarre que nous ne nous sommes jamais croisé avant, pourtant nos manoirs ne sont pas si loin que cela. Allez-vous souvent à des réception?