Je pris la main de Mlle Miranda. La pauvre était malade. Heuresement, ce n'était pas cintagieux selon le medecin. Et oui, j'avais appellée le medecin pour ma domestique. Je n'aimais pas ceux qui les traitaient comme des moins que rien. Nous étions tous humain, non? La pauvre s'afaiblissait. Mais mon programme de la journée n'en pouvait être chamboulé, il me fallait donc prendre mon cours de musique.
Je tira un peu le rideaux de la pièce et mon regard se porta un peu partout, quand mes yeux se posirent sur un jeune homme adossé à la rambarde. Il possédait un violon, mais j'était trop loins pour le détailler. Mais si ce musicien était la, cela voulait dire que c'était lui qui allait me donner mes cours? Mais qu'était-il donc arriver à mon proffeseur, M. Duncan? Inquiète, je sortis à toute vitesse dans la pièce et descendis les escaliers par quatre. Puis je parcourue le trajet de la porte à l'entré du manoir. Je regarda le jeune homme quelques instant. Il possédait de beaux cheveux noir que j'eu envie de toucher. Ses yeux, plutôt son oeil, l'autre étant dérrière ses cheveux, étant d'un violet étrange et envoutant. Il avait un chapeaux haut de forme et un beauc costume noir. Son violon était...étrange, il n'y avait pas d'autre mot. Je le regardait, donc, puis me décida à lui adressée la parole, timidement.
-Escusez moi.... mais ou est M. Duncan?... vous êtes.... son remplacant?!....

Il me regarda, puis retira son chapeaux et s'inclina.
-Bonjour Mademoiselle. Je me nomme Faust je suis son remplacant , M. Ducan a eu un empêchement et il m'a envoyer a sa place.
-Ouf, j'avais craint qu'il ne lui arrive malheur!
Je n'avais pu m'empecher de le dire. Je souris, un sourire plein d'innocense et de gentillesse. Je lui pris la main, et sans qu'il ne puissent dire quoique ce soit, je l'e,traina vers le manoir, tout sourire. Je ralentit devant la porte et entra sous le regard du majordome.
-Ne t'inquiète pas, c'est le remplacant de M. Duncan. Tu veut bien t'occupez de lui et lui montrez la salle de cour? Je dois me préparez =DSans attendre sa réponse, je la connaissait, je m'élanca tout joyeuse dans les escaliers. UN rien pouvait me donner le sourire. Dans ma chambre, je prit mon petit violon et repartit de plus belle dans les escaliers. J'entra dans la salla, mais M. Faust n'était pas encore arrivé. Etrange...